Terra Ignota
L'aventure n'a rien à voir avec la jeunesse
Par louis--marie | Le 21/04/2018 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L'aventure sourit rarement au jeune âge, c'est son châtiment.
Je vous laisse à vos gouffres, à vos os et à vos cauchemars !
Par louis--marie | Le 06/11/2017 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
J'en ai soupé de l'authentique, de l'écriture équitable produite les doigts crispés sur la minute inédite, l'œil exorbité sur l'instant insane, les babines retroussées sur un cadavre exquis, une souffrance photogénique. Marre de reluquer la pourriture du monde, de trainer tous les regards vers le bas. On amplifie le râle du monde, on y taille des bannières que l’on met devant la troupe docile et enivrée de larmes amères. L’origine de ma rage est là, car j’aspire à affronter plus grand que moi, à me consumer dans les éthers, à voler en éclats. Je veux être moi sans condition et dans une multitude de mondes. Y vivre bruyamment en dansant, en riant, et en vous maudissant. Je vous laisse à vos gouffres, à vos os et à vos cauchemars.
Epouser une grande cause
Par louis--marie | Le 01/10/2017 | Dans Ligne de faille | Commentaires (2)
S’il m’arrive parfois d’aimer le corps de certaines villes, leur âme, elle, me répugne toujours. Il faut savoir trousser un compliment comme on le fait d’une jupe, sans se perdre, pour ensuite épouser une grande cause.
Guerre voluptueuse
Par louis--marie | Le 26/09/2017 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
La danse
Par louis--marie | Le 18/06/2017 | Dans Citations | Commentaires (0)
Rhum & Putsch
Par louis--marie | Le 06/11/2016 | Dans Coupure de presse | Commentaires (0)
Demain, je pars en guerre. J'emmène des cigares, mon ami, du vieux rhum.
La vie a cessé d’être un saut périlleux.
Par louis--marie | Le 13/03/2016 | Dans Ligne de faille | Commentaires (1)
La vie a cessé d’être un saut périlleux. On ne fait plus que des sauts de poux ; et je crois qu’il faut épouiller le monde pour lui donner fière allure et avoir un tête à tête avec lui.
Disséquer le monde
Par louis--marie | Le 15/12/2015 | Dans Affiche | Commentaires (3)
Disséquer le monde et le refaire à notre démesure !
Même en rêve le courage est absent.
Par louis--marie | Le 16/06/2015 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Tout cela ne serait pas bien grave s’il y avait le rêve. Mais même en rêve le courage est absent.
Prendre brûlant, d'un coup sec !
Par jp-graph | Le 12/06/2015 | Dans Affiche | Commentaires (1)
Aventure, éthique, fulgurance, subversion, idéal, audace, rugby, serment, vodka, manipulation, danger, comédie, folie, jonglerie, barnum et molotov... Solution à garder à portée de main, au bivouac, en pleine mer, dans les bars, dans les tranchées comme dans votre bain. Prendre brûlant, d'un coup sec. Pour adultes désinvoltes seulement !
La vie en forme de proue
Par jp-graph | Le 19/05/2015 | Dans Affiche | Commentaires (1)
La vie en forme de proue
Henry de Montherlant
Actualité : Nous avons osé Twitter...
Par louis--marie | Le 25/03/2015 | Dans Coupure de presse | Commentaires (1)
A l'abordage de Twitter ! le torpilleur s'appelle @TIgnota... il faut immédiatement allumer tous les boutefeux qui se présentent, s'accaparer l'espace, imposer son impérialisme, prendre corps en tout lieu, se mettre en évidence... Répondre à l'injonction conquérante et insolente : nous sommes de tous les combats !
Je fais le pari de ne pas être seul…
Par louis--marie | Le 09/02/2015 | Dans Ligne de faille | Commentaires (3)
Précieux et bavards, voilà ce que sont ces imbéciles qui attendent l’ultime combat solitaire, le moment tendu, le surgissement de l’aventure, pensant avec prétention y tenir le rôle de leur vie ; ce rôle qu’ils répètent indéfiniment dans leurs écrits sans danger, dans leurs songes confortables, dans leurs espoirs dénaturés. Cédant à cette grandeur labile et chimérique, ils s’interdisent le courage de la vie qu’ils dénoncent avec mépris. Malsaines petites ombres incapables de saigner, de cracher, de hurler, d’aimer, de jouir, de se brûler au feu qu’ils admirent tant de le voir agrandir leur reflet noir. Rien ne leur arrive finalement, ils meurent bourgeois, célibataires matzneviens, masturbateurs maladifs abonnés aux revues licencieuses, les yeux cernés de noir, le teint pâle et le bide flasque. Icônes piaculaires de ce qu’ils auront honnis toute leur chienne de vie. Ce cauchemar est la corruption d’une certaine jeunesse résignée, et assurément du plus grand nombre. Ah, ce nombre-là qui absorbe sournoisement cette jeunesse-là. Que de trahisons, de renoncements, de désertion il lui aura fallu pour préférer la noirceur flatteuse et infinie de l’utopie au rebours de l’exaltation folle et vertigineuse de la réalité. Que de rumeurs grandiloquentes il aura diffusé sur la vie pour imposer son succédané contemplatif, son ersatz. Envoyant ses disciples colporter l’idée que la vie n’est qu’une fraternité désespérée, morne, faite de couples disgracieux, de croyances douteuses et de valeurs punitives. Taillant, pour ses plus jeunes adeptes, des tuniques dans le même voile rouille qu’il appose sur la vie pour cacher la vérité.
Ce sont d’abord les hommes qui s’armeront, par habitude séculaire, des femmes aussi car la guerre ne leur est plus épargnée. Ils sont ceux qui ont vu s’installer la folie, ceux à qui on ordonne de baisser les yeux devant les vices étalés, de tourner le dos à la famille, de s’agglutiner dans les villes, de se rassasier des médias, de bouffer la graisse, le pétrole, les couleuvres et les vers, de vendre leur ventre, de se couper les couilles, de dealer leurs enfants… Ils viendront ôter l’insidieuse rouille qui, comme une gangrène, un suc gastrique, entache la vie véritable, la ronge ; et ce sera la fin de l’avancée du désert, la fin du simulacre, la possibilité de faire comparaître les mirages, de les condamner à l’errance éternelle : ombres avachies parmi les ombres fausses et traîtres.
Soudain alors, se dressera la vie. La matrice réelle, celle des printemps, celle du sang qui coule, rare, rouge, celle de la vigne, des serments baroques ni prince, ni nantis, des hommes rassasiés, des naissances, du soleil, de la bastide aux contreforts puissants, des femmes magnifiques, des forêts, des cicatrices, de la ténacité, du roc, de la dignité, des sacrifices, de l’honneur retrouvé, de la divinité… Peu de mots pour dire ces belles choses véritables dans lesquelles je m’affirme un point après l’autre ! Je fais le pari de ne pas être seul…
Contre révolution, bon coeur !
Par jp-graph | Le 01/02/2015 | Dans Affiche | Commentaires (0)
CONTRE REVOLUTION, BON COEUR !
Code for victory : Sortir des cadres
Par jp-graph | Le 19/01/2015 | Dans Affiche | Commentaires (0)
Sous les mots, la subversion
Quelle méprise !
Par louis--marie | Le 07/12/2014 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Cette sage modernité qui vient se vautrer sur mes humeurs indisciplinées... quelle méprise !
Une certaine jeunesse, vilaine bestiole qui refuse de muer
Par louis--marie | Le 16/11/2014 | Dans Ligne de faille | Commentaires (2)
La jeunesse à besoin de se prendre au sérieux là où l’Homme prend au sérieux. J’entends ici par jeunesse la jeunesse sociale, convenue, moderne, comme catégorie. Pas celle qui a cette faculté à se transcender pour une Patrie, une famille, des enfants… non ! je parle bien de celle qui trimballe cette immense prétention de se croire tout ça à elle seule… un énorme nombril refusant toute cicatrice, toute personnalité, toute souffrance… une vilaine bestiole qui refuse de muer, par adoration de ses écailles. Il n’y a pas plus conservateur que cette jeunesse là, par attachement à sa clarté… pas d’ombre, pas de contraste… un moi basique qui n’est jamais dépassé, métamorphosé… nymphettes épilées… garçons androgynes… plus d’homme viril ni de femme épanouie… mourir comme on est né, sans savoir, sans connaissance, sans histoire… une génération de mort-nés, normés, insignifiants.
Brûler la nuit
Par louis--marie | Le 08/11/2014 | Dans Ligne de faille | Commentaires (1)
Il nous faut de nouveau le feu sacré... et ce feu, nous pourrions alors le retourner contre les Nuits !
Code for victory : Couper dans le vif
Par jp-graph | Le 24/10/2014 | Dans Affiche | Commentaires (0)
Une fraternité, insensible aux mauvais courants du monde
Par julius-falco | Le 14/10/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (5)
J’ai toujours rêvé de l’existence d’une société secrète, qui se rencontrerait dans des lieux sombres parfumés d’effluves mêlant l’opium, l’encens et le soufre ; un clan, un peu obscur, qui serait le repaire de chevaliers venus d’un autre siècle, échoués sur les rivages pollués du monde moderne ; une fraternité, insensible aux mauvais courants du monde, fondée sur la quête de la Justice, de la Beauté et de l’Ordre juste ; bref j’ai toujours rêvé de l’existence d’une famille, amante de la pénombre, dont les membres brûleraient ensemble du même feu qui les habite.
Se mettre en danger !
Par louis--marie | Le 12/10/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Se mettre en danger, c’est la clef de toute vie intéressante.
Rules of a gentleman n°3
Par jp-graph | Le 02/10/2014 | Dans Affiche | Commentaires (0)
A Gentleman means what he says, and says what he means
Il prit la mer, symboliquement...
Par louis--marie | Le 01/10/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Un homme, très siècle légendaire, exige doucement de son piano quelques notes virtuoses et désabusées pour accompagner son exil. Il joue tout aussi bien la partition du dandy hautain et élégant, insolent et distingué, relevé d'une fermeté étrangement inattendue car sauvage... réflexe de race dit-il comme une excuse toujours mal comprise. Il a ajouté l'arrogance, il y a peu, pour prolonger le noir. Se devine quelque chose d'inné dans cette faculté à s'exagérer sans se défaire d'une légèreté de duelliste. Il parcourt le grand salon des yeux, s'arrête sur l'énorme cheminée aux lignes cisterciennes, cache à demi un sourire. Passé aux tamis de la morale contemporaine, peu de ses traits de caractère survivent aux accusations de la bien-pensance... accusé de s'être délibérément placé à rebours de son époque, sur les hauteurs, de s'être rendu inaccessible aux autres.
"Anachronisme aristocratique" avait conclu le jugement. L'affaire était entendue comme double accusation, celle d'être obsolète en plus d'être un parasite resté contagieux. Il est vrai qu'il s'est exposé à tous les derniers excès de son siècle... aventures, mauvais sujets, engagements irrévocables... esprit aiguisé de toutes les pierres, frotté de toutes les étoffes... sang, coups, œuvre, désordre... trafiquant clairvoyant, péripéties douteuses de mandarin... aussi le cynisme, celui né d'avoir trempé son imagination dans la réalité. Ils voulurent lui faire porter une croix cousue sur ses vêtements... un bannissement. Il refusa : une faute esthétique plus qu'éthique lança-t-il au Comité de Vigilance.
Il prit le parti de l'exil, loin des villes fumantes, non pas en paria, mais en homme libre ayant le dégout de cette cité et de ses censeurs moralistes. L'homme bénéficie d'atouts enviables : la nature le reconnait d'entre les siens ! Il prit la mer, symboliquement… pour se purifier.
La solitude est une arme
Par louis--marie | Le 13/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Exhorter l’anarchie dans les villes est une distraction bourgeoise : l’anarchie ne peut s’imposer que dans la solitude et l’immensité. Car, qui vit de combattre la société, a intérêt à ce qu’elle reste en vie. Ainsi en est-il du petit protestataire post-moderne débarrassé de toute dimension optimiste et utopique. L’ermite, lui, n’a aucun goût à la survie de la société.
La révolte est une forme d'optimisme
Par jp-graph | Le 09/09/2014 | Dans Affiche | Commentaires (0)
La révolte est une forme d'optimisme
Les prémices d'un requiem tragique
Par | Le 17/08/2014 | Dans Citations | Commentaires (2)
Il n'était encore qu'un soldat, avant de devenir un soldat perdu....Tout, ici, respire les prémices d'un requiem tragique !
Patrick Mahé, Les Oies sauvages meurent à Mexico
(Hommage à John O'Reilly du Bataillon Saint-Patrick, alias les San Patricio).
Eté baroque
Par louis--marie | Le 17/08/2014 | Dans Citations | Commentaires (2)
Un homme qui n’aime pas l’Italie est toujours plus ou moins un barbare.
Félicien Marceau
La guérison de la colère
Par louis--marie | Le 11/07/2014 | Dans Citations | Commentaires (0)
Seule compte la révolte. C’est la guérison des sentiments de colère et de haine. Mais ces passions ne se guérissent qu’en éclatant.
Roger Nimier
Fils tonitruant et dilettante du siècle des extrêmes
Par louis--marie | Le 02/07/2014 | Dans Bibliothèque de combat | Commentaires (3)
Fils tonitruant et dilettante du siècle des extrêmes, libre penseur au cœur de l'histoire, idéaliste querelleur il s'invente un nom impérial et tragique digne de son audace, Malaparte, et mena les mille vies insensées d'un caméléon. Légionnaire garibaldien, écrivain pamphlétaire, diplomate, éditeur, polémiste, technicien du coup d'état, taulard sur une île, journaliste aventurier, poète voyageur, architecte flamboyant et provocateur, témoin de la déchéance d'une civilisation kaputt, correspondant de guerre, il use sa peau sur tous les continents et sa plume sur tous les bords incompatibles d'une politique étriquée. A la fin, il offre humblement sa mort à Dieu.
Il faut être supérieur à son temps
Par louis--marie | Le 21/06/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Je veux être un extrémiste de la vie ! Celle-ci doit être vécue comme une provocation, comme un défi, où la subversion serait l’éthique de la transgression. Il faut être supérieur à son temps, transcender son existence. Imposer mon « je », jouer avec férocité !
Fais que je porte mon âme dans la mêlée
Par louis--marie | Le 09/06/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Action, démarcation… il y a du cousinage entre ces mots. Une lignée de rébellion contre toute occupation de nos cours de récréation.
Bure, kilt et sarong
Par louis--marie | Le 18/05/2014 | Dans Ligne de faille | Commentaires (4)
Bure, kilt, sarong sont des choix de dandys Baudelairiens pour habiller le prêtre, le soldat et le poète. Le reste de tissu habille les femmes élégantes, les vieux fantasques et aujourd’hui les fades évirés.
Une âme affamée
Par louis--marie | Le 15/05/2014 | Dans Citations | Commentaires (0)
Une âme riche est une âme affamée. Au jour du jugement, il sera demandé à chacun de nous selon sa faim.
Jean-René Huguenin - Journal (1955-1962)
La simplicité, complément indispensable à toute vie élégante
Par louis--marie | Le 09/05/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Je suis pour la richesse qui ne crie pas l’opulence et pour la pauvreté qui ne crie pas famine.
Aux Femmes ardentes !
Par louis--marie | Le 15/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Tous prônent l'exaltation dans la déchéance, dans la profusion sexuelle, au nom d'une liberté violée et profanée. Je revendique l'ivresse de la grandeur, celle que l'on connaît dans la relation avec une femme ardente, une femme unique.
Siècle nonchalant
Par louis--marie | Le 09/03/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Dans le déroulement exaltant et plus que millénaire de notre civilisation, notre époque apparait comme figée. Progressivement le monde a été livré à la nonchalance, et c’est cette mollesse que l’on propose à l’excitation de ma génération. Se révolter devient alors une aventure superbement urgente et absolue. Des printemps de réflexion, des hivers d’indignation et toutes ces délibérations déguisées en résistances, doivent forcément aboutir à l’action. Et celle-ci doit être absolument coupante, décisive, déchirante, elle doit interrompre le temps de la science et de la conscience pour une plongée brutale et grisante dans l’inconnu où il n’est plus concevable d’observer une distance démocratique.
Code for victory : S'exagérer !
Par louis--marie | Le 11/01/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Ecrire chaque mot à bout portant, comme une mise à mort !
2014 : Etre supérieur à son temps
Par louis--marie | Le 29/12/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
2014, j'opposerai le bruit de la vie aux grumeaux sourds de vos voix !
Certitude de tanière.
Par louis--marie | Le 14/12/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
La modernité, née comme un projet de domination de la nature comme des êtres, oblige à imaginer la tanière comme une base de reconquête, un quartier général, pas comme un point de chute.
Transcendance
Par louis--marie | Le 22/11/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Transcendance : celle-ci présuppose toujours que notre existence individuelle mérite d’être sacrifiée pour quelque chose de plus grand.
Aurore celte
Par louis--marie | Le 22/11/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Le premier matin du monde est né de la nuit celtique.
L’héroïsme est un acte de jeunesse.
Par louis--marie | Le 13/10/2013 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Au-delà des clivages politiques, des croyances religieuses, de la guerre des sexes ou du choc des générations, le pouvoir en place a réussi, par le vote d’une loi contre-nature autorisant le mariage entre homosexuels, à donner aujourd’hui, à la jeunesse, une raison de se battre pour des valeurs qui transcendent la notion de civilisation pour s’ancrer dans l’universel. C’est assurément ce qui manquait à la jeunesse, un idéal pour se battre !
Prémeditation de la mort
Par louis--marie | Le 28/09/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Préméditation de la colère
Par louis--marie | Le 14/09/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Open war
Par louis--marie | Le 11/05/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Embarquez !
Par louis--marie | Le 23/03/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
C'est l'heure de sortir
Par louis--marie | Le 17/03/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Contrairement au Prince de Ligne, je suis prêt à quitter mon exil pour l’honneur, l’humeur et l’horreur. Je suis prêt à faire un pacte temporaire avec la marche cahotante de l’évolution de l’homme s’il devait renouer avec le spirituel et l’affect et abandonner l’immense orgie d’enfants gâtés dans laquelle il sombre. En attendant, il est vrai, loin de la clameur et loin du goût démocratique, je n’ai aucune relation diplomatique avec mon siècle.
Le mythe du totalitarisme
Par louis--marie | Le 05/03/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Maintenant !
Par louis--marie | Le 14/01/2013 | Commentaires (0)
Femmes en armes
Par louis--marie | Le 13/01/2013 | Dans Ligne de faille | Commentaires (2)
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Ou comment rester immortel d'un coup de révolver ! Beau texte que celui-là...
« On ne se souvient pas des jours, on se souvient des instants », disait Cesare Pavese
Arrivés ensemble du côté de Berlin, un jour d'hiver 85, les images me reviennent de quelques moments ...
« Nous, on fait dans l’plomb ! »
Superbe !
C'est peut-être une mue : "Tous les trente ans, le monde laisse tomber une peau", disait Paul Morand ...
Personne n'y prête attention, mais j'aime tes #hashtag insolents.
J'y ai des souvenirs de fins de nuits qui nous obligeaient à partir séance tenante voir la mer du côté ...
Soljenitsyne le disait déjà : « À y regarder de l’extérieur, l’amplitude des convulsions de la société ...
Ami de jeunesse Olivier je pense souvent à toi. Repose en paix ou tu te trouve Éric
”Vous êtes le seul peintre moderne qui donne du génie au spectacteur. Chaque toile ouvre des possibilités ...
Salut camarade ! Faut-il que je sois décati, je n'avais pas vu ça… Un an et demi plus tard, enconfiné ...
est le titre sublime d’un album de Lavilliers… vanité et exotisme.
C'est, je crois Jorge Luis Borges, qui disait qu'un gentleman ne peut s'intéresser qu'à des causes perdues ...
Super clin d’œil
Magnifique détail ! Que de talents en Occident, quelle histoire des Arts !!! Le constat est amer aujourd'hui ...
IL reste des poches de résistants qui sont pétris de ces valeurs et de certitudes quant aux solutions ...
Sabre au clair! On retourne dans la brêche.
Is there someone who can speak in English who can tell me more about this picture? We either have it ...
"Nous savons que la Révolution est une rupture, la Révolution est un absolu. Il n'y a pas de révolution ...