Guerre
L'aventure, la guerre et la révolte
Par louis--marie | Le 14/05/2020 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Toute audace est baroque !
Par louis--marie | Le 14/08/2019 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Toute la tendance contemporaine jaugée à l’étalon égalitaire, son goût hypocrite pour la tolérance, son contenu austère, pèsent lourdement sur le destin tout entier de l’idée de baroque dont l’essence aristocratique est l’audace, le mystique, l’excès, le mouvement, l’esthétique. Toute rébellion, toute effervescence, toute explosion est baroque ! Je suis baroque, pour le panache contre la propagande. Je hais le conformisme classique, urbain, laïc, sévère et appliqué, avec sa prédisposition pour la lâcheté.
A l'abattoir ! A l'abattoir !
Par louis--marie | Le 07/06/2019 | Commentaires (0)
Une guerre contre vous qui mourez trop lentement !
Par louis--marie | Le 13/06/2018 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Une guerre contre vous qui mourez trop lentement. Une guerre en compagnie d’amis ensevelis. Une guerre contre tous ces nouveaux mots inutiles qui encombrent nos rues et vos gorges ingrates. Une guerre qui viendra accaparer les grandes parcelles de nos espoirs avec des mots qui ont de la mâchoire. Une guerre accompagnée de certitudes simples et dures comme des cris. Il y a encore de la grandeur à servir aux avant-gardes du monde qui commence au bord du siècle…
La souffrance avec des mots irréprochables
Par louis--marie | Le 28/04/2018 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
La souffrance avec des mots irréprochables est un luxe de poète, de soldat, de trappiste.
Je vous laisse à vos gouffres, à vos os et à vos cauchemars !
Par louis--marie | Le 06/11/2017 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
J'en ai soupé de l'authentique, de l'écriture équitable produite les doigts crispés sur la minute inédite, l'œil exorbité sur l'instant insane, les babines retroussées sur un cadavre exquis, une souffrance photogénique. Marre de reluquer la pourriture du monde, de trainer tous les regards vers le bas. On amplifie le râle du monde, on y taille des bannières que l’on met devant la troupe docile et enivrée de larmes amères. L’origine de ma rage est là, car j’aspire à affronter plus grand que moi, à me consumer dans les éthers, à voler en éclats. Je veux être moi sans condition et dans une multitude de mondes. Y vivre bruyamment en dansant, en riant, et en vous maudissant. Je vous laisse à vos gouffres, à vos os et à vos cauchemars.
Guerre voluptueuse
Par louis--marie | Le 26/09/2017 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Détestons !
Par louis--marie | Le 08/04/2017 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Détestons puisque c'est la mode semble-t-il. Il ne sera pas dit que je ne fais aucun effort pour être de mon siècle !
Avec nos meilleurs vœux...
Par jp-graph | Le 31/12/2016 | Dans Coupure de presse | Commentaires (2)
C’est arrivé comme un changement d’année, au douzième coup de minuit, à l’heure pétante, zéro zéro comme disent les militaires. Et tout d’un coup nous étions en guerre. Et cette guerre n'avait pas débutée que les journalistes faisaient déjà l’autopsie de la défaite, en direct, et préparaient le défilé des visages abattus des hommes politiques. Ainsi s’arrêta 2016. Mais la guerre est une science occulte... Avec nos meilleurs vœux 2017.
Car l'heure de leur absolu, de leurs grands cris de rage, a sonné
Par louis--marie | Le 04/11/2016 | Dans Ligne de faille | Commentaires (1)
Il grimpa dans son land-rover 90TD blanc débâché, posa la M40 sur la plage avant, juste à côté de l’icône et prit la route. Quelques heures plus tard, il dévala le chemin vers la mer, dans la poussière d’été de son enfance. La musique de The Decline! fut interrompue par le crépitement du Motorola. Dans une langue codée de moments tactiques et de munitions, un homme parla d’embuscade et de coup de main. Il avança sur le petit chemin qui mène au cœur de la garrigue. Descendu du 4X4, il retourna aux abords de la route. Il se posta.
Dans le village, on l’appelait Monsieur Claude. Un nom de tenancier de bordel. C’était un sanguin, rouge sang de bœuf, un homme gras aux allures de dandy affaissé, la gorge tapissée par les alcools forts, qui organisait des « fêtes » avec des filles, à deux pas de La Jonquera, de l’autre côté de la frontière Espagnole. Sa femme, née à Malaga d’une mère ashkénaze venant de Hongrie, et d’un père Ethiopien, se promenait toujours avec un flacon d’eau de Cologne pour désinfecter les bidets. Monsieur Claude, lui, préférait le whisky, et le sang neuf des jeunes filles. « Ca fabrique des cirrhoses parfumées », disait-il. Jamais monsieur Claude n’aurait pu vivre dans le dénuement. Né dans un hôtel-restaurant sur la frontière espagnole, d’une mère prostituée et d’un père fantasque, il avait fait ses études dans la rue avant de devenir maquereau, puis big boss de la traite de jeunes garçons vers le Moyen Orient. Il jouit désormais du luxe absolu : un hôtel particulier de 600 m2, avec patio et terrasses, situé au pied du Mont Canigou, à l'Ille sur Têt ; et une grande maison d’allure familiale sur la Côte d’Azur, entourée de rosiers, de servantes et de dorures. Les hommes politiques viennent se prosterner devant ses millions et profitent des miettes de jeunes éphèbes que monsieur Claude glisse dans leur lit après les journées de chasse qu’il organise à leur profit.
Assis sur ses talons depuis 15 minutes, il regardait sa montre G-SHOCK, il était bientôt midi. Dans l’odeur épicée du maquis, le bruit du grésillement d'une cigarette lui manquait. Il regardait la route qui montait en lacet vers sa position. Monsieur Claude y passait chaque mercredi, en fin de matinée, pour se rendre dans la vieille chapelle d’Hermitage où il croyait que Dieu l’entendait et surtout lui pardonnait tout, après ses quelques minutes de génuflexions théâtrales. C’était son chemin de croix, fait au volant d’une Jaguar, agrémenté de quinze arrêts qu’il faisait en chemin pour : « relever les compteurs jusqu’à ma résurrection financière » aimait-il plaisanter. Monsieur Claude avait le blasphème facile comme tous les truands sanctifiés bourgeois. Il riait alors, comme il l’avait travaillé devant la glace, toutes dents dehors, avec la lèvre retroussée sur la gencive supérieure.
Ce n’était pas Monsieur Claude que Matthieu détestait, c’était l’idée moderne qu’il représentait. Et à l’heure qui devait marquer le grand retour des héros granitiques et des belles de jadis, il avait choisi d’envoyer symboliquement du 7.62 dans le buste du confort moderne représenté par Monsieur Claude.
La Jaguar XF Pure arriva en contrebas, Monsieur Claude tapota sur la boiserie du tableau de bord en écoutant Live Your Life de Rihanna … Il arma son M40 A3… distance 850 mètres… tira une seule munition. I'm the opposite of moderate cria la chanteuse … timing parfait ! L’écho compta trois répétitions avant que la voiture ne pénètre dans un roncier pour y disparaitre. Matthieu resta sur place jusqu’à ce que le bruit de fond de la nature vienne exorciser le silence.
Ils étaient ainsi une centaine, approchés pour leur absolu, leurs grands cris de rage, le feu grandiose qu'ils allumaient partout, et leur apparence de prophète. Les passions politiques sont des rumeurs, alors ils avaient choisi d’agir… sans expliquer. Ils avaient choisi la grande saignée cosmique à la Roger Gilbert-Lecomte. L’heure a sonné. Une cible par personne, c’est le premier pas : politiques, maquereaux, banquiers, communautaristes, journalistes, pédérastes, clandés, militants, avocats, juges… ils commençaient par le plus sale.
Actualité : Femmes ardentes
Par louis--marie | Le 22/04/2016 | Dans Coupure de presse | Commentaires (5)
Comme toutes les femmes, la violence contient une part de vérité.
La vie a cessé d’être un saut périlleux.
Par louis--marie | Le 13/03/2016 | Dans Ligne de faille | Commentaires (1)
La vie a cessé d’être un saut périlleux. On ne fait plus que des sauts de poux ; et je crois qu’il faut épouiller le monde pour lui donner fière allure et avoir un tête à tête avec lui.
Actualité : Etat d'urgence
Par louis--marie | Le 14/11/2015 | Dans Coupure de presse | Commentaires (2)
Revenir aux grands incendies barbares
Par louis--marie | Le 06/10/2015 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
J’aspire à la fureur des grands incendies qu’Attila allumait le soir après avoir décimé la population d’une ville pour avoir osé refuser lui ouvrir les portes au matin.
En attendant la prochaine déclaration de guerre...
Par louis--marie | Le 01/04/2015 | Dans Pneumatiques | Commentaires (10)
A attendre l'ouverture de la chasse, le début de la saison de tauromachie, la prochaine déclaration de guerre, je constate que la guerre est ma vraie langue maternelle.
Les derniers poètes de la gratuité absolue
Par louis--marie | Le 07/03/2015 | Dans Citations | Commentaires (0)
Les hommes de guerre sont de l’espèce qui se rase pour mourir. Ils croient à la rédemption de l’homme par la vertu de l’exercice et du pas cadencé. Ils cultivent la force physique et la belle gueule, s’offrant le luxe des réveils précoces dans les matins glacés et des marches harassantes pour la joie de s’éprouver. Ce sont les derniers poètes de la gratuité absolue.
Jean Larteguy
Tabula Rasa
Par louis--marie | Le 15/02/2015 | Dans Ligne de faille | Commentaires (2)
Tabula Rasa, ultime barbare annonçant la civilisation mythique !
M’éloigner de mon époque.
Par louis--marie | Le 30/01/2015 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Seuls les assoiffés seront absous. La sècheresse de l'âme c'est la damnation.
Sous le voile de cette vision irénique d'un monde sans ennemi
Par louis--marie | Le 24/08/2014 | Dans Ligne de faille | Commentaires (1)
Ne percevez-vous pas ce que Charles Péguy appelait les prodromes annonciateurs, les événements infimes qui sont les signes annonciateurs et presque invisibles de grands bouleversements à venir. Ils sont là, encore sous le voile de cette vision irénique d'un monde sans ennemi. Ils bougent !.
Se battre, hurler de joie ...
Par julius-falco | Le 11/08/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Alors, on peut relever la tête et prendre les armes. Il ne reste qu’à se battre et à hurler de joie. La guerre est noble. Il ne peut y avoir de vie sans combat ; le refuser c’est accepter la servitude. Je suis fier de mes passions, comme de mes erreurs. Je suis fier de mon miroir. La profondeur de nos défauts est le reflet de notre démesure. Je veux vivre encore, je veux aller plus loin. D’ailleurs j’ai décidé de ne pas mourir. Je n’abandonnerai jamais la vie et je le jure devant tous les dieux et tous les diables. Jamais je n’abandonnerai la vie.
Fais que je porte mon âme dans la mêlée
Par louis--marie | Le 09/06/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Action, démarcation… il y a du cousinage entre ces mots. Une lignée de rébellion contre toute occupation de nos cours de récréation.
Fin du practice ...
Par louis--marie | Le 07/05/2014 | Dans Citations | Commentaires (0)
Les révolutions, c'est quand les battes de base-ball et les clubs de golf changent de main. Les dates exactes et les litres de sang sont des querelles d'historiens.
Anonyme
L'amitié dans le bleu du matin
Par louis--marie | Le 24/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L'amitié, pareille à une poignée de main, à l’odeur du café partagé, à l’éclat mordoré d’une cigarette cachée dans le creux de la paume. Comme une amitié de conversations se prolongeant dans le bleu du matin.
Violentes convictions
Par louis--marie | Le 08/12/2013 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Convoquer les quatre Cavaliers de l’Apocalypse pour former lLa garde éternelle de l’étendard de mes convictions.
La ville
Par louis--marie | Le 30/11/2013 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Dans le fond des villes, l’image de la mer et de la forêt me poursuivent. L’inverse n’est pas vrai. Ainsi il est faux de dire que l’homme est moderne et urbain. Je suis primitif, malpoli et franc !
L’héroïsme est un acte de jeunesse.
Par louis--marie | Le 13/10/2013 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Au-delà des clivages politiques, des croyances religieuses, de la guerre des sexes ou du choc des générations, le pouvoir en place a réussi, par le vote d’une loi contre-nature autorisant le mariage entre homosexuels, à donner aujourd’hui, à la jeunesse, une raison de se battre pour des valeurs qui transcendent la notion de civilisation pour s’ancrer dans l’universel. C’est assurément ce qui manquait à la jeunesse, un idéal pour se battre !
Effraction sauvage
Par louis--marie | Le 20/09/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Il me souvient que nous aimions l’effraction et la sauvagerie, que nos illusions de brumes nous portaient aux veillées dans quelques camps de Brennus ou de Pictes, que les amitiés fortes restaient suspendues au hasard de la guerre, que nous avions soif d’ultime.
Base d'assaut
Par louis--marie | Le 01/06/2013 | Commentaires (0)
Je rêve d’une armée de mots
Par louis--marie | Le 19/05/2013 | Dans Coupure de presse | Commentaires (0)
La prochaine guerre devra se faire contre le totalitarisme des médias. Il faut s’émanciper de leur régime en créant de nouvelles perceptions. La soumission est tellement profonde que cette mutation devra entrainer des modifications anthropologiques pour que l’homme se mette de nouveau à penser par lui-même. Seule la poésie devrait avoir la puissance nécessaire pour faire parler les mots violés et en faire naître de nouveaux. Je rêve d’une armée de mots qui anéantirait ces Dieux modernes, des mots racés, coupants, barbares.
Open war
Par louis--marie | Le 11/05/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Le jour où la France est morte
Par louis--marie | Le 13/01/2013 | Commentaires (0)
13 janvier 2013, Paris. Manifestation contre le mariage des pédérastes, l’achat de nourrisson ou la location de « ventre de pondeuse ». La police matraque, et asperge de gaz, les enfants, vieillards et femmes, venus manifester. Certains sont arrêtés. Que l'homme ait un destin en marge de la nature, voilà ce en quoi je ne crois pas. C'est ce jour-là que j’ai clairement compris que ma génération devait se battre comme les dernières l'avaient fait contre le nazisme, puis le communisme, ces idélogies de destruction massive.
Business and personal
Par louis--marie | Le 03/12/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Business or personal
Par louis--marie | Le 03/12/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Subversion...
Par louis--marie | Le 30/11/2012 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Ubi sunt leones : I don't want to die without a scar !
Par louis--marie | Le 25/09/2012 | Dans Citations | Commentaires (0)
Un Hussard ? Quel âge ?
Par louis--marie | Le 27/08/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Eternels 20 ans !
Par louis--marie | Le 05/08/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Une preuve irréfutable
Par louis--marie | Le 25/06/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
J'ai besoin d'exemples
Par louis--marie | Le 24/04/2012 | Dans Ligne de faille | Commentaires (1)
Louis RICARDOU, pupille de la nation, ancien légionnaire, amputé d'une jambe, réussit à se faire admettre comme mitrailleur dans un bombardier du Groupe de bombardement Lorraine, squadron 342. Son Boston est abattu au cours d'une mission de harcèlement au-dessus de Falaise, dans le Calvados, le 5 août 1944. Il avait 34 ans lorsqu'il est mort au champ d'honneur après trente-deux missions de guerre...
En ces temps inconsistants, j'ai besoin d'exemples !
La chasse et la guerre
Par louis--marie | Le 07/04/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Heureusement qu'il y a dans ce siècle sans épaisseur deux beautés, deux appels : la femme et l’amitié, c'est-à-dire la chasse et la guerre.
Deuil de guerre ...
Par louis--marie | Le 02/04/2012 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Debout !
Par louis--marie | Le 31/03/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Je veux mourir debout ! Cela semble étrange comme idée, voire stupide si l’on admet que la mort est une chute, que la vie a cette balistique fatale faite de trois mouvements dont le premier, violent, explosif, est ascensionnel puissant et mécanique, le second, appelé longtemps par les canonniers le petit bout indéterminé avec sa courbe imprévisible, est là-haut balloté dans les couches des souffles inattendus, et le dernier enfin, pur ou naturel, est descendant, gravitationnel, glissant naturellement vers le sol que la vie viendra finalement transpercer, où elle ira s’enterrer. Je n’aime pas cette vision déterminée sur les seules certitudes d’abaques mathématiques. De façon empirique je retiens trois points essentiels à la vie : la poussée initiale doit être provisoirement violente, les corps légers s’élèvent et les astres ne tombent pas. Voilà ma trajectoire tendue, faite pour apprendre à se tenir droit, fier, en avant, tête haute ! La chose est maintenant moins absurde à être écrite ainsi : mourir debout face aux avachis, aux Assis, comme les appelait Rimbaud, tressés avec leurs sièges, trajectoires en cloche comme des jets d’urine.
Croire en des choses simples.
Par louis--marie | Le 15/03/2012 | Dans Citations | Commentaires (0)
La boue, le sang, l'honneur... voilà la leçon de Schoendoerf !
Par louis--marie | Le 14/03/2012 | Dans Citations | Commentaires (2)
Cycle maudit
Par louis--marie | Le 01/01/2012 | Dans Citations | Commentaires (0)
Le peloton
Par louis--marie | Le 03/12/2011 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Le temps des vignes
Par louis--marie | Le 21/11/2011 | Dans Citations | Commentaires (0)
Malédiction de la ville
Par louis--marie | Le 01/11/2011 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Echec et mat ...
Par louis--marie | Le 31/10/2011 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
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Ou comment rester immortel d'un coup de révolver ! Beau texte que celui-là...
« On ne se souvient pas des jours, on se souvient des instants », disait Cesare Pavese
Arrivés ensemble du côté de Berlin, un jour d'hiver 85, les images me reviennent de quelques moments ...
« Nous, on fait dans l’plomb ! »
Superbe !
C'est peut-être une mue : "Tous les trente ans, le monde laisse tomber une peau", disait Paul Morand ...
Personne n'y prête attention, mais j'aime tes #hashtag insolents.
J'y ai des souvenirs de fins de nuits qui nous obligeaient à partir séance tenante voir la mer du côté ...
Soljenitsyne le disait déjà : « À y regarder de l’extérieur, l’amplitude des convulsions de la société ...
Ami de jeunesse Olivier je pense souvent à toi. Repose en paix ou tu te trouve Éric
”Vous êtes le seul peintre moderne qui donne du génie au spectacteur. Chaque toile ouvre des possibilités ...
Salut camarade ! Faut-il que je sois décati, je n'avais pas vu ça… Un an et demi plus tard, enconfiné ...
est le titre sublime d’un album de Lavilliers… vanité et exotisme.
C'est, je crois Jorge Luis Borges, qui disait qu'un gentleman ne peut s'intéresser qu'à des causes perdues ...
Super clin d’œil
Magnifique détail ! Que de talents en Occident, quelle histoire des Arts !!! Le constat est amer aujourd'hui ...
IL reste des poches de résistants qui sont pétris de ces valeurs et de certitudes quant aux solutions ...
Sabre au clair! On retourne dans la brêche.
Is there someone who can speak in English who can tell me more about this picture? We either have it ...
"Nous savons que la Révolution est une rupture, la Révolution est un absolu. Il n'y a pas de révolution ...