Légion Etrangère
La souffrance avec des mots irréprochables
Par louis--marie | Le 28/04/2018 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
La souffrance avec des mots irréprochables est un luxe de poète, de soldat, de trappiste.
Club fermé
Par louis--marie | Le 11/07/2016 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Têtes brûlées, aristocrates ruinés, amoureux déçus, idéalistes exaltés, enfants de malheur, âmes perdues, pêcheurs repentis, tous à la recherche d’une autre chance, d’une deuxième identité, d’une vie meilleure. Autant d'histoires personnelles, ayant abandonné le quotidien pour se confronter à l'histoire du monde. La légion exprime une communauté de destin, d’histoire, qui s’affranchit des règles sociales de la société. C’est un milieu sans caste même s'il reste fortement hiérarchisé. La Légion reste le meilleur club du monde, où chaque membre a quelque chose en commun que personne d’autre ne peut avoir. A Moscou, à Paris, à New-york, avec de l’argent n’importe qui peut être membre de n’importe quel Club, sauf celui de la légion.
J’apprends la vie
Par louis--marie | Le 30/04/2016 | Dans Pneumatiques | Commentaires (2)
J’apprends la valeur du travail auprès d’hommes qui allumaient leurs cigarettes avec des chalumeaux, qui brisaient la caillasse…
Les grands barbares blancs
Par louis--marie | Le 28/12/2014 | Dans Citations | Commentaires (1)
Je suis l'Empire, à la fin de la décadence, qui regarde passer les grands Barbares blancs en composant des acrostiches indolents.
Paul Verlaine
Je crois les causes généreuses faites pour les cœurs perdus
Par louis--marie | Le 30/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (2)
J’entends, insolente et légère, une jeune légion étrangère buissonnière s’impatienter à l’orée du béton de notre société.
J’entends la première ligne trépigner sous le couvert de la forêt. Faite des cicatrices du siècle, elle aligne les fils des cadets de Gascogne, les descendants des chouans, les princes audacieux ou encore les bannis et les exilés… tous ces cœurs perdus. Rênes courtes et verbe haut sur leurs montures, chacun prêt à faire l'histoire, dédaignant les honneurs tout en jetant négligemment un coup d’œil enfantin sur leurs beaux panaches blancs…
Je les entends maintenant dans le sillage empanaché des Mousquetaires et de Cyrano, voilà le galop des hussards, la charge des Uhlans, la mitraille des maquisards, toute une coterie de disciples de l’insolence, une école de l’irrévérence, une armée des ombres toute en contraste, accablée de mépris qui vient cogner à la porte du Lupanar de la jouissance sans entrave pour exiger la fin de la grande partouze !
Elaguer Lebranchu
Par louis--marie | Le 15/04/2011 | Dans Coupure de presse | Commentaires (0)
Madame le député Marylise Lebranchu, faites nous grâce de vos avis sur les choses qui vous sont étrangères. Vouloir faire une coupe claire dans les rangs de La Légion, c’est ignorer qu’elle a des racines qui vous permettent de vous déployer en liberté.
Bonjour, Je reviens sur un point de détail mais Woz avait raison : la Mercedes fatale était bien une ...
Bonjour, Je reviens sur un point de détail mais Woz avait raison : la Mercedes fatale était bien une ...
Ou comment rester immortel d'un coup de révolver ! Beau texte que celui-là...
« On ne se souvient pas des jours, on se souvient des instants », disait Cesare Pavese
Arrivés ensemble du côté de Berlin, un jour d'hiver 85, les images me reviennent de quelques moments ...
« Nous, on fait dans l’plomb ! »
Superbe !
C'est peut-être une mue : "Tous les trente ans, le monde laisse tomber une peau", disait Paul Morand ...
Personne n'y prête attention, mais j'aime tes #hashtag insolents.
J'y ai des souvenirs de fins de nuits qui nous obligeaient à partir séance tenante voir la mer du côté ...
Soljenitsyne le disait déjà : « À y regarder de l’extérieur, l’amplitude des convulsions de la société ...
Ami de jeunesse Olivier je pense souvent à toi. Repose en paix ou tu te trouve Éric
”Vous êtes le seul peintre moderne qui donne du génie au spectacteur. Chaque toile ouvre des possibilités ...
Salut camarade ! Faut-il que je sois décati, je n'avais pas vu ça… Un an et demi plus tard, enconfiné ...
est le titre sublime d’un album de Lavilliers… vanité et exotisme.
C'est, je crois Jorge Luis Borges, qui disait qu'un gentleman ne peut s'intéresser qu'à des causes perdues ...
Super clin d’œil
Magnifique détail ! Que de talents en Occident, quelle histoire des Arts !!! Le constat est amer aujourd'hui ...
IL reste des poches de résistants qui sont pétris de ces valeurs et de certitudes quant aux solutions ...
Sabre au clair! On retourne dans la brêche.