beauté
La mer, comme le désert, sont monothéistes
Par louis--marie | Le 10/09/2020 | Commentaires (0)
La beauté sobre
Par louis--marie | Le 26/03/2020 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L'essence du monde
Par louis--marie | Le 15/01/2019 | Dans Citations | Commentaires (1)
L'ivresse du monde est mortelle.
Alexandre Pouchkine
Difficile de dénoncer le vice
Par louis--marie | Le 19/05/2018 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Difficile de dénoncer le vice après avoir déconstruit toutes les valeurs.
Croire de nouveau qu’il y a encore quelques rêves à réaliser
Par louis--marie | Le 05/05/2018 | Commentaires (0)
M’absoudre dans la beauté crissante du grand lac gelé, aux figures fractales, aux arêtes vives heurtées. Me noyer dans l’ivresse ruisselante de la pluie d’hiver. Courir jusqu'à m'en glacer les poumons, la chair transpercée d’aiguilles de verre que le vent me lance. M’égarer dans la brume gardienne du fracas sourd des coups de tonnerre. Faire lieu d’une cabane, de la contraction d’un moment abandonné de la modernité. Rester loin des carnages, du suicide précipité de l’occident, ce souverain défunt d'une promesse non tenue. Ressurgir de l’exil au printemps. Reprendre à la patère, la veste rugueuse, vieil étendard fidèle de l’aventure. Croire de nouveau qu’il y a encore quelques rêves à réaliser pour les assoiffés de bleus, pour les yeux perdus.
J’oppose la vie entière à la vie tronquée.
Par louis--marie | Le 31/03/2018 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Il y aurait une beauté brune et païenne, carnation chaude et érotique d’amante ainsi qu’il y aurait une beauté blonde et chrétienne à la blancheur lumineuse et sphérique, diffusant une ingénue douceur flamboyante. J’ai pour ma part la conscience du sang, l’extase érotique de la procréation, l’éthique de la fidélité, l’esthétique de la complicité d’une femme unique et précieuse. J’oppose la vie entière à la vie tronquée.
Il faut revisiter la question de la nature humaine.
Par louis--marie | Le 10/03/2018 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Les plus morts sont de grands vivants
Par louis--marie | Le 09/02/2018 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Courtiser la mort, voilà une belle éducation qui se fiche bien de toutes les recommandations de douairière, de tout cet orgueil contemporain étrangement retiré de la vie. Elle a quelque chose d’affranchi qui ressemble, à s'y méprendre, à l’espoir d’un salut, où l’homme sans fard prendrait conscience de lui-même, de ses corps et de ses âmes, dans une continuité grandiose et pudique.
Démagogie esthétique
Par louis--marie | Le 20/11/2017 | Commentaires (0)
La démagogie esthétique est une trahison du beau !
Epouser une grande cause
Par louis--marie | Le 01/10/2017 | Dans Ligne de faille | Commentaires (2)
S’il m’arrive parfois d’aimer le corps de certaines villes, leur âme, elle, me répugne toujours. Il faut savoir trousser un compliment comme on le fait d’une jupe, sans se perdre, pour ensuite épouser une grande cause.
C'est l'été partout !
Par louis--marie | Le 14/06/2017 | Dans Ligne de faille | Commentaires (1)
C’est l’été partout ! Du bruit incessant des abeilles, aux seins nus sur la plage. Proust disait "Le monde moderne n’est pas le dernier salon de l’auto, mais un groupe de jeunes filles mal élevées sur la plage".
La solitude bien élevée
Par louis--marie | Le 12/03/2017 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Je crois l'élégance de l’ordre du privé, de l’intime. Elle consiste à se comporter de la même manière au plus profond de la solitude hivernale que dans la société. S’il devait en être autrement, l’élégance prendrait alors le nom de futilité.
Accès réservé
Par louis--marie | Le 08/03/2017 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Certaines femmes sont éternelles comme d’autres sont de mars, de lundi ou de 17 heures. Celles de 17 heures sont dans la rue, au perron des hôtels qui louent une chambre pour une heure. Celles de lundi sont celles en tailleur dans l’ouverture de la porte de l’ascenseur. Celles de mars indiquent le printemps de la sève brute. Il n’existe que peu de femmes éternelles, elles sont pourtant les seules nécessaires pour rester humain, c'est-à-dire supérieur.
La femme de l’homme
Par louis--marie | Le 08/02/2017 | Dans Citations | Commentaires (1)
La vraie femme. Celle qui nous vient du fond des âges. Celle qui rayonne à l’autre extrémité de la création. Je peux vous dire cela d’une manière plus directe. Deux races de femmes. L’une nombreuse, et l’autre en voie de disparition. Les femmes dans lesquelles on se branle. La femme avec qui l’on fait l’amour. Et avec qui faire l’amour, c’est se refaire de l’enfance. La vraie femme : celle qui connaît les secrets des eaux, des pierres, des plantes, des bêtes. Celle qui fixe le soleil et voit clair dans la nuit. Celle qui possède la clé de la santé, de la paix transparente, des harmonies. La sorcière blanche, la fée aux larges flancs humides, au visage d’ange flamand, aux longs cheveux blonds, aux yeux clairs, qui attend l’homme pour recommencer avec lui le paradis terrestre… Avec elle, toute la terre s’organise en féerie. Avec elle, il y a de l’immortalité dans l’air… Le désir qu’elle inspire est vide de tout démon. Plonger en elle vous réensemence et vous révèle que la grande jouissance est chaste. La vraie femme, la femme rare. Celle que les anciens gnostiques appelaient « la femme de l’homme » et la « rosée de lumière ». Ils nommaient l’autre, qui est légion, « la femme de la femme…
Louis Pauwels
J’y ai vu une mise en scène
Par louis--marie | Le 20/01/2017 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Si je dis : l’heure la plus sombre, en hiver, à quatre heures du matin en rase campagne. Je ne vois là aucune poésie. Et pourtant j’y ai vu une mise en scène où les mots avaient du mal à trouver leur place habituelle.
Actualité : Femmes ardentes
Par louis--marie | Le 22/04/2016 | Dans Coupure de presse | Commentaires (5)
Comme toutes les femmes, la violence contient une part de vérité.
Toutes les femmes de pouvoir sont en veste-pantalon. C'est déjà une défaite des femmes.
Par louis--marie | Le 12/07/2015 | Dans Fais tes Humanités | Commentaires (2)
Demain j’irai au Grand-Palais, j’ai besoin de beauté durant quelques heures. J'irai admirer la Vénus à son miroir de Velázquez. Après La naissance de Vénus de Botticelli et La Vénus d'Urbin du Titien, Velázquez apporte une dernière touche lumineuse et baroque au triptyque à la gloire de la divinité de la femme. Mais Vénus, déjà consciente des lâchetés et abandons à venir, se couche puis tourne dédaigneusement le dos au monde, au fil de ces trois peintures.
Après, par petites touches discrètes puis plus hardies, la femme s’est mise à porter des vestes-pantalons sombres et fumer le cigare pour signifier la défaite de l’amour et de la beauté et de la séduction, qui étaient les attributs de Vénus.
Je crois simplement en la femme divine
Par louis--marie | Le 15/04/2015 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
La joie est une conquête explosive
Par louis--marie | Le 03/04/2015 | Dans Pneumatiques | Commentaires (4)
Le bonheur ! Le bonheur ! Etrange étoffe sucrée, lourde et inconfortable. Moi j’ai toujours préféré la joie… ça sent le soleil, la légèreté instantané, la pureté. La joie, elle ne va pas au p’tit bonheur la chance, elle explose !
Cette fatigue amoureuse
Par louis--marie | Le 02/03/2015 | Dans Citations | Commentaires (2)
N'est-ce pas la part la plus excitante de leur beauté, cette fatigue amoureuse qui vitre et cerne leurs yeux et leur durcit un peu le visage.
Paul Morand
Qu’offre-t-on à notre admiration ?
Par louis--marie | Le 22/11/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Qu’offre-t-on à notre admiration ? Une brune avec des yeux où tout homme aperçoit un lit défait là où nous désirions l’exemplum antique de Lucretia. Je condamne l'insupportable supplice de la médiocrité tout autant que le suicide de la morale.
L'idéalisation du désir
Par louis--marie | Le 24/10/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Projection, idéalisation et désir, voilà la synthèse des amours impossibles. C'est le sens du définitif et du sacrifice à leur apogée. C’est aussi l’histoire tragique d’un lâche et d’une traitresse.
Aurore sanglante
Par louis--marie | Le 12/10/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
De la traînante crainte de se livrer naît cette grimace de l’honneur, fierté sanglotante pour laquelle nous sommes prêts à mourir.
Debout, léger, essentiel
Par louis--marie | Le 29/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L'adolescence reste trop souvent l'exaltation de pouvoir s'agenouiller, nuque raide face à un amour, une cause, un idéal... quelque chose qui semble si définitif. C'est après qu'on apprend à être debout, léger, essentiel.
Nous sommes des êtres puissants
Par julius-falco | Le 13/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Soyez inutile ; j’ai bien dit inutile ! Le monde s’épuise à distribuer des rôles. L’individu a renoncé à vivre pour se vendre. Il a baissé la tête et renoncé à sa dignité. Il faut retrouver un contact direct, immédiat, avec la vie. Fonder son existence à partir de ses émotions, prendre du temps pour prier, se débarrasser de l’illusion de la réussite et admettre le sens tragique de la vie. Nous sommes des êtres puissants. Il est grand temps de souffler sur les braises de nos feux intérieurs. Soyons inutiles et devenons des hommes.
J'apprends l'humain, le vrai.
Par louis--marie | Le 01/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Pendant que vous êtes dans vos grandes écoles parisiennes, j'apprends l'humain, le vrai.
J’aperçois les coups de poings dans dix ou vingt ans
Par louis--marie | Le 09/08/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
J’ai maintenant un tas de livres qui monte, qui se constitue. Je vois bien les mouvements désordonnés, j’entends surtout les bruissements, les glissements, les escalades, les coups de marteaux, de gueules, de poings… Des auteurs qui s’arrangent d’une promiscuité, d’autres qui s’élèvent par celle-ci ou sont poussés vers le vide… Ascenseur et Echafaud ! Je souris de voir les grands frères et les pères placer la famille sur cette pyramide bancale. Il y a déjà des clans, des terres et donc des héritiers. Les lauréats qui attendent la fin de la construction pour se faire hisser sur le sommet, sûrs et fatigués de leur rang. Vieux célibataires reconnaissant à demi un enfant illégitime, ou égaré, pour porter le catafalque. Belles, distantes, charmantes, les femmes encouragent ; terrifiées d’imaginer que le temps, volant leur beauté, n’en profite pour effacer ce que leur intelligence a créé. Entre vieux beaux et courtisanes, dans les coins, forcément, les coquins et les libertins. Il y a des morts, des exécutés, des ressuscités et même des suicidés. Sur les montants, les renégats et les maudits montent et descendent à leur guise, insolents. Je pressens des étages qui se grimperont en courant. Je la vois presque cette bibliothèque, je l’aperçois dans quelques années. Forcément, je sens, simultanément, les idées qui s’agrègent, le caractère qui se renforce, les convictions, les révoltes… J’aperçois les coups de poings dans dix ou vingt ans.
Es-tu le victorieux ?
Par louis--marie | Le 15/06/2014 | Dans Citations | Commentaires (0)
Tu es jeune et tu désires femme et enfant. Mais je te demande : es-tu le victorieux vainqueur de lui-même, souverain des sens, maître de ses vertus ? C'est ce que je te demande. Ou bien ton vœu est-il le cri de la bête et de l'indulgence ? Ou la peur de la solitude ? Ou la discorde avec toi-même ?
Nietzsche
Dandy baroque
Par louis--marie | Le 30/05/2014 | Dans Citations | Commentaires (3)
Nous voulons bien de l'enfer si nous y entrons dans un beau manteau qui attire les regards.
Roger Nimier
Aujourd'hui la plupart des hommes s'épousent eux-mêmes
Par louis--marie | Le 09/05/2014 | Dans Citations | Commentaires (0)
La plupart des hommes épousent une médiocre contrefaçon des hommes, un peu plus retorse, un peu plus souple, s’épousent eux-mêmes. Ils se voient eux-mêmes passer dans la rue, avec un peu plus de gorge, un peu plus de hanches, le tout enveloppé de jersey de soie, alors ils se poursuivent eux-mêmes, s’embrassent, s’épousent. C’est moins froid, après tout, que d’épouser un miroir. La femme est rare, elle enjambe les crues, elle renverse les trônes, elle arrête les années. Sa peau est le marbre. Quand il y en a une, elle est l’impasse du monde… Où vont les fleuves, les nuages, les oiseaux isolés ? Se jeter dans la femme… Mais elle est rare… Il faut fuir quand on la voit car si elle aime, si elle déteste, elle est implacable. Sa compassion est implacable. Mais elle est rare.
Jean Giraudoux
Aux Femmes ardentes !
Par louis--marie | Le 15/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Tous prônent l'exaltation dans la déchéance, dans la profusion sexuelle, au nom d'une liberté violée et profanée. Je revendique l'ivresse de la grandeur, celle que l'on connaît dans la relation avec une femme ardente, une femme unique.
Brûler tous les vaisseaux à vingt ans
Par louis--marie | Le 25/02/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Finalement, écrire à vingt ans est indécent ! C’est manquer toutes les bonnes occasions de mourir avec panache
Le fou sublime
Par louis--marie | Le 10/02/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Ne pas confondre les âmes endolories et les cœurs mesquins. C'est-à-dire ne pas souiller le fou sublime, le chevalier errant. Les arcanes de leur âme sont des voix silencieuses, des impulsions anxieuses et parfois des évènements d’heureuse souvenance.
Ecrit de jeunesse
Par louis--marie | Le 08/12/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L’Amitié comme introduction à l’éthique, l’Amour comme introduction à l’esthétique. Voilà les points d’appui ! Mais nous sommes pressés, elle non, car la femme appartient au temps, l’homme à l’époque. L’Amitié d’abord, ensuite la femme ! A chaque âge un tourment. En attendant, la femme se résume souvent en une porte qui claque !
Les furies et les gisantes
Par louis--marie | Le 21/04/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Décadence lip stick
Par louis--marie | Le 14/04/2013 | Dans Ligne de faille | Commentaires (0)
Contre-civilisation
Par louis--marie | Le 08/04/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L'âme de la nuit
Par louis--marie | Le 04/02/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
La nuit, il se passe des choses que le jour ne comprend pas.
Pour ses yeux mauves
Par louis--marie | Le 03/12/2012 | Dans Citations | Commentaires (0)
Pour ma femme
Par louis--marie | Le 07/11/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (6)
La certitude et la rage
Par louis--marie | Le 19/08/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Dans tous les schémas de révolte, je ne vois pas la place de la femme car elle est naturellement accaparée par une métaphysique de la vie qui dépasse les petites choses qui occupent sottement les hommes. La femme est certitude et logique ; l’homme est résistance, rage, repli, déconstruction. Elle parle d’humanité lorsque nous parlons clan. Elle ne réagit qu’aux grands massacres qui traversent parfois un siècle lorsque nous voilà à vider les râteliers pour un mot d’honneur. Prenons garde que la femme reste sur ces hauteurs et attachons nous à l’y rejoindre plus tard, quand on sera grand.
La femme rend le monde érotique !
Par louis--marie | Le 07/08/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
A la recherche de la beauté
Par louis--marie | Le 19/04/2012 | Dans Citations | Commentaires (1)
On sait qu’il existe trois types de beauté, de mérites différents. Les beautés sanglantes, les beautés sublimes et les beautés vénitiennes.
Roger Nimier
Beauté sanglante
Par louis--marie | Le 15/04/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
La chasse et la guerre
Par louis--marie | Le 07/04/2012 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Heureusement qu'il y a dans ce siècle sans épaisseur deux beautés, deux appels : la femme et l’amitié, c'est-à-dire la chasse et la guerre.
L'art au féminin
Par louis--marie | Le 27/11/2011 | Dans Citations | Commentaires (0)
Amour
Par louis--marie | Le 16/09/2011 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Actéon transformé en cerf après avoir vu Artémis nue… Voilà ce que doit être l’amour pour un jeune homme !
Uppercut !
Par louis--marie | Le 03/06/2011 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Bonjour, Je reviens sur un point de détail mais Woz avait raison : la Mercedes fatale était bien une ...
Bonjour, Je reviens sur un point de détail mais Woz avait raison : la Mercedes fatale était bien une ...
Ou comment rester immortel d'un coup de révolver ! Beau texte que celui-là...
« On ne se souvient pas des jours, on se souvient des instants », disait Cesare Pavese
Arrivés ensemble du côté de Berlin, un jour d'hiver 85, les images me reviennent de quelques moments ...
« Nous, on fait dans l’plomb ! »
Superbe !
C'est peut-être une mue : "Tous les trente ans, le monde laisse tomber une peau", disait Paul Morand ...
Personne n'y prête attention, mais j'aime tes #hashtag insolents.
J'y ai des souvenirs de fins de nuits qui nous obligeaient à partir séance tenante voir la mer du côté ...
Soljenitsyne le disait déjà : « À y regarder de l’extérieur, l’amplitude des convulsions de la société ...
Ami de jeunesse Olivier je pense souvent à toi. Repose en paix ou tu te trouve Éric
”Vous êtes le seul peintre moderne qui donne du génie au spectacteur. Chaque toile ouvre des possibilités ...
Salut camarade ! Faut-il que je sois décati, je n'avais pas vu ça… Un an et demi plus tard, enconfiné ...
est le titre sublime d’un album de Lavilliers… vanité et exotisme.
C'est, je crois Jorge Luis Borges, qui disait qu'un gentleman ne peut s'intéresser qu'à des causes perdues ...
Super clin d’œil
Magnifique détail ! Que de talents en Occident, quelle histoire des Arts !!! Le constat est amer aujourd'hui ...
IL reste des poches de résistants qui sont pétris de ces valeurs et de certitudes quant aux solutions ...
Sabre au clair! On retourne dans la brêche.