Pneumatiques
Quelque chose de léger, un surgissement, une fulgurance.
Il prit la mer, symboliquement...
Par louis--marie | Le 01/10/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Un homme, très siècle légendaire, exige doucement de son piano quelques notes virtuoses et désabusées pour accompagner son exil. Il joue tout aussi bien la partition du dandy hautain et élégant, insolent et distingué, relevé d'une fermeté étrangement inattendue car sauvage... réflexe de race dit-il comme une excuse toujours mal comprise. Il a ajouté l'arrogance, il y a peu, pour prolonger le noir. Se devine quelque chose d'inné dans cette faculté à s'exagérer sans se défaire d'une légèreté de duelliste. Il parcourt le grand salon des yeux, s'arrête sur l'énorme cheminée aux lignes cisterciennes, cache à demi un sourire. Passé aux tamis de la morale contemporaine, peu de ses traits de caractère survivent aux accusations de la bien-pensance... accusé de s'être délibérément placé à rebours de son époque, sur les hauteurs, de s'être rendu inaccessible aux autres.
"Anachronisme aristocratique" avait conclu le jugement. L'affaire était entendue comme double accusation, celle d'être obsolète en plus d'être un parasite resté contagieux. Il est vrai qu'il s'est exposé à tous les derniers excès de son siècle... aventures, mauvais sujets, engagements irrévocables... esprit aiguisé de toutes les pierres, frotté de toutes les étoffes... sang, coups, œuvre, désordre... trafiquant clairvoyant, péripéties douteuses de mandarin... aussi le cynisme, celui né d'avoir trempé son imagination dans la réalité. Ils voulurent lui faire porter une croix cousue sur ses vêtements... un bannissement. Il refusa : une faute esthétique plus qu'éthique lança-t-il au Comité de Vigilance.
Il prit le parti de l'exil, loin des villes fumantes, non pas en paria, mais en homme libre ayant le dégout de cette cité et de ses censeurs moralistes. L'homme bénéficie d'atouts enviables : la nature le reconnait d'entre les siens ! Il prit la mer, symboliquement… pour se purifier.
Debout, léger, essentiel
Par louis--marie | Le 29/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L'adolescence reste trop souvent l'exaltation de pouvoir s'agenouiller, nuque raide face à un amour, une cause, un idéal... quelque chose qui semble si définitif. C'est après qu'on apprend à être debout, léger, essentiel.
Notre vraie vie est dans l'immortalité
Par julius-falco | Le 23/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Trouver la force de se réinventer. Modifier l'organisme s'il le faut. Changer de voie, changer de tout. N'être rien d'autre que ce qui est essentiel en soi, rejoindre son centre et rester près du feu. Le temps de l'insolence est venu et avec lui le temps de la vérité : être à jamais un esclave ou bien être un jeune loup.
Nous sommes des êtres puissants
Par julius-falco | Le 13/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Soyez inutile ; j’ai bien dit inutile ! Le monde s’épuise à distribuer des rôles. L’individu a renoncé à vivre pour se vendre. Il a baissé la tête et renoncé à sa dignité. Il faut retrouver un contact direct, immédiat, avec la vie. Fonder son existence à partir de ses émotions, prendre du temps pour prier, se débarrasser de l’illusion de la réussite et admettre le sens tragique de la vie. Nous sommes des êtres puissants. Il est grand temps de souffler sur les braises de nos feux intérieurs. Soyons inutiles et devenons des hommes.
La solitude est une arme
Par louis--marie | Le 13/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Exhorter l’anarchie dans les villes est une distraction bourgeoise : l’anarchie ne peut s’imposer que dans la solitude et l’immensité. Car, qui vit de combattre la société, a intérêt à ce qu’elle reste en vie. Ainsi en est-il du petit protestataire post-moderne débarrassé de toute dimension optimiste et utopique. L’ermite, lui, n’a aucun goût à la survie de la société.
J'apprends l'humain, le vrai.
Par louis--marie | Le 01/09/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Pendant que vous êtes dans vos grandes écoles parisiennes, j'apprends l'humain, le vrai.
Les défroqués, c'est ça le pire !
Par louis--marie | Le 24/08/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Du bourgeois sans culotte à la lolita en string… les défroqués, c'est ça le pire !
Se battre, hurler de joie ...
Par julius-falco | Le 11/08/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Alors, on peut relever la tête et prendre les armes. Il ne reste qu’à se battre et à hurler de joie. La guerre est noble. Il ne peut y avoir de vie sans combat ; le refuser c’est accepter la servitude. Je suis fier de mes passions, comme de mes erreurs. Je suis fier de mon miroir. La profondeur de nos défauts est le reflet de notre démesure. Je veux vivre encore, je veux aller plus loin. D’ailleurs j’ai décidé de ne pas mourir. Je n’abandonnerai jamais la vie et je le jure devant tous les dieux et tous les diables. Jamais je n’abandonnerai la vie.
Ami de nid d'aigle
Par louis--marie | Le 09/08/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
O mon ami, ami enraciné, ami de nid d’aigle au visage d’ombre et d’éclair, nous voilà Princes d’Empire et de bordées sur notre forteresse pour l’avoir conquise dans la furie de nos galops. Nous nous sommes retrouvés dos à dos, face aux autres, pour des mots, des pensées brunes ou blondes, des projets de révolte, le même goût du sel et des vents violents et la même vision d'une terre ultime.
J’aperçois les coups de poings dans dix ou vingt ans
Par louis--marie | Le 09/08/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
J’ai maintenant un tas de livres qui monte, qui se constitue. Je vois bien les mouvements désordonnés, j’entends surtout les bruissements, les glissements, les escalades, les coups de marteaux, de gueules, de poings… Des auteurs qui s’arrangent d’une promiscuité, d’autres qui s’élèvent par celle-ci ou sont poussés vers le vide… Ascenseur et Echafaud ! Je souris de voir les grands frères et les pères placer la famille sur cette pyramide bancale. Il y a déjà des clans, des terres et donc des héritiers. Les lauréats qui attendent la fin de la construction pour se faire hisser sur le sommet, sûrs et fatigués de leur rang. Vieux célibataires reconnaissant à demi un enfant illégitime, ou égaré, pour porter le catafalque. Belles, distantes, charmantes, les femmes encouragent ; terrifiées d’imaginer que le temps, volant leur beauté, n’en profite pour effacer ce que leur intelligence a créé. Entre vieux beaux et courtisanes, dans les coins, forcément, les coquins et les libertins. Il y a des morts, des exécutés, des ressuscités et même des suicidés. Sur les montants, les renégats et les maudits montent et descendent à leur guise, insolents. Je pressens des étages qui se grimperont en courant. Je la vois presque cette bibliothèque, je l’aperçois dans quelques années. Forcément, je sens, simultanément, les idées qui s’agrègent, le caractère qui se renforce, les convictions, les révoltes… J’aperçois les coups de poings dans dix ou vingt ans.
L’excès en tout !
Par louis--marie | Le 21/07/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Avoir des goûts de dandy et mener une vie de gueux !
La préméditation de l’amitié se conçoit dans l'endurance d'une vertu.
Par louis--marie | Le 21/07/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Il y a trois types d’amitié. Celle inférieure, de l’utilité, qui n’est que calcul et besoin, réceptacle du politique et du marchand. Au-dessus, celle du plaisir qui est simplement celle de l’entente généreuse de la jeunesse. Au-delà, supérieure, aristocratique, celle selon la vertu, elle est celle des hommes vertueux qui sont semblables en vertu.
La joie des vainqueurs
Par julius-falco | Le 11/07/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Je voulais juste vous dire que je désire vivre pour la Joie. Non pas pour le bonheur, la tendresse ou la gaité mais pour la joie. La joie unique et pure, la joie absolue, la joie des vainqueurs.
L'unité de l'homme
Par julius-falco | Le 11/07/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Il y a un point ultime où le cœur, l’âme, l’esprit et l’enfant vivent ensemble. Ce lieu c’est l’unité de l’Homme vrai.
L’impossible et la démesure.
Par julius-falco | Le 28/06/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Universitaire, cinéaste, anthropologue, trafiquant d’armes, sénateur, styliste, sportif, fêtard, aristocrate, ermite, alchimiste, tarologue, écrivain, boxeur, magicien, restaurateur, chevalier, viticulteur. J’ai devant moi une vie bien remplie. Je n’accepte de respirer qu’au prix de l’impossible et de la démesure.
Les bons comptes font les bons vivants !
Par louis--marie | Le 27/06/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Regardez la mort, elle se relève à chaque fois, après chaque mise en terre elle reprend le travail. La vie doit faire pareil... mieux, être plus forte... deux enfants pour un mort et c'est la vie qui gagne... et pas 0,99 ou 1,99. Les bons comptes font les bons vivants !
Il faut être supérieur à son temps
Par louis--marie | Le 21/06/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Je veux être un extrémiste de la vie ! Celle-ci doit être vécue comme une provocation, comme un défi, où la subversion serait l’éthique de la transgression. Il faut être supérieur à son temps, transcender son existence. Imposer mon « je », jouer avec férocité !
Fais que je porte mon âme dans la mêlée
Par louis--marie | Le 09/06/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Action, démarcation… il y a du cousinage entre ces mots. Une lignée de rébellion contre toute occupation de nos cours de récréation.
L'honneur et la fidélité ont perdu la tête
Par louis--marie | Le 09/06/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Finalement l'honneur, la fidélité étaient bien des valeurs aristocratiques puisqu’elles ont perdu la tête le 21 janvier 1793.
Secret
Par louis--marie | Le 30/05/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
En cette période d’exhibitionnisme je vous exhorte à la vie privée et secrète !
C'est la légèreté qui est sérieuse
Par louis--marie | Le 30/05/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Je suis pour une littérature de grand air et non pour une littérature aux grands airs.
Patrie
Par louis--marie | Le 24/05/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Patrie : un mot déraisonnable dans lequel il y a du sang.
Club privé d'esprit
Par louis--marie | Le 18/05/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (3)
A un club privé, aménagé sous un nom illustre, dont l’admission facile ne serait réservé qu’aux imbéciles, aux collectionneurs de citations et aux jeunes gens très riches (finalement souvent les mêmes) - cette humanité vautrée sur des fauteuils en cuir, cachée dans de grasses maisons closes d’esprit - je préfère la coterie ou la société secrète pour son odeur de souffre et son côté exotique qui convient mieux aux yeux bleus et aux femmes minces.
La simplicité, complément indispensable à toute vie élégante
Par louis--marie | Le 09/05/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Je suis pour la richesse qui ne crie pas l’opulence et pour la pauvreté qui ne crie pas famine.
Je crois les causes généreuses faites pour les cœurs perdus
Par louis--marie | Le 30/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (2)
J’entends, insolente et légère, une jeune légion étrangère buissonnière s’impatienter à l’orée du béton de notre société.
J’entends la première ligne trépigner sous le couvert de la forêt. Faite des cicatrices du siècle, elle aligne les fils des cadets de Gascogne, les descendants des chouans, les princes audacieux ou encore les bannis et les exilés… tous ces cœurs perdus. Rênes courtes et verbe haut sur leurs montures, chacun prêt à faire l'histoire, dédaignant les honneurs tout en jetant négligemment un coup d’œil enfantin sur leurs beaux panaches blancs…
Je les entends maintenant dans le sillage empanaché des Mousquetaires et de Cyrano, voilà le galop des hussards, la charge des Uhlans, la mitraille des maquisards, toute une coterie de disciples de l’insolence, une école de l’irrévérence, une armée des ombres toute en contraste, accablée de mépris qui vient cogner à la porte du Lupanar de la jouissance sans entrave pour exiger la fin de la grande partouze !
L'amitié dans le bleu du matin
Par louis--marie | Le 24/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L'amitié, pareille à une poignée de main, à l’odeur du café partagé, à l’éclat mordoré d’une cigarette cachée dans le creux de la paume. Comme une amitié de conversations se prolongeant dans le bleu du matin.
Partir ...
Par louis--marie | Le 21/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Je fixe mes limites aux quatre points cardinaux qui sont les quatre coins de mon ring. Plus tard, j’irai me frotter à ces civilisations où l’oiseau, l’arbre ou la mer ouvrent l’espace contraint par ces seuls points en intégrant le zénith, le nadir et même le milieu.
Se relire dans les plis de nos cicatrices
Par louis--marie | Le 21/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Il est des cicatrices que l'on rêve d'avoir à vingt ans, pour pouvoir se relire plus tard et être sûr de ne pas s'être inutilement perdu.
Aux Femmes ardentes !
Par louis--marie | Le 15/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Tous prônent l'exaltation dans la déchéance, dans la profusion sexuelle, au nom d'une liberté violée et profanée. Je revendique l'ivresse de la grandeur, celle que l'on connaît dans la relation avec une femme ardente, une femme unique.
L'esprit d'épargne ?
Par louis--marie | Le 02/04/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L’esprit d’épargne n’est pas notre fort, nous on dilapide dans l’amitié.
Hâtivement, fuir la ville !
Par louis--marie | Le 25/03/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Hâtivement, fuir la ville ! On se trompe toujours lorsqu’on croit pouvoir se déplier hors de la forêt, loin des embruns
Une lame pour les infâmes
Par louis--marie | Le 16/03/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Une phrase a souvent valeur d’un livre par ce qu’elle contient de puissance.
Siècle nonchalant
Par louis--marie | Le 09/03/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Dans le déroulement exaltant et plus que millénaire de notre civilisation, notre époque apparait comme figée. Progressivement le monde a été livré à la nonchalance, et c’est cette mollesse que l’on propose à l’excitation de ma génération. Se révolter devient alors une aventure superbement urgente et absolue. Des printemps de réflexion, des hivers d’indignation et toutes ces délibérations déguisées en résistances, doivent forcément aboutir à l’action. Et celle-ci doit être absolument coupante, décisive, déchirante, elle doit interrompre le temps de la science et de la conscience pour une plongée brutale et grisante dans l’inconnu où il n’est plus concevable d’observer une distance démocratique.
Brûler tous les vaisseaux à vingt ans
Par louis--marie | Le 25/02/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Finalement, écrire à vingt ans est indécent ! C’est manquer toutes les bonnes occasions de mourir avec panache
Le fou sublime
Par louis--marie | Le 10/02/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Ne pas confondre les âmes endolories et les cœurs mesquins. C'est-à-dire ne pas souiller le fou sublime, le chevalier errant. Les arcanes de leur âme sont des voix silencieuses, des impulsions anxieuses et parfois des évènements d’heureuse souvenance.
Intense
Par louis--marie | Le 10/02/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
L’aventure épaissit les secondes
Dionysos ou Socrate ?
Par louis--marie | Le 10/02/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Dionysos ou Socrate ? Le primitif ou la connaissance ? L’instinctif ou l’acquis ? Culture ou civilisation : il faudra en tuer un, quelle tragédie !
Dernier bivouac !
Par louis--marie | Le 03/02/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Il nous reste le feu, le chant et la nuit !
Au bar Lean de la rue du Port
Par louis--marie | Le 28/01/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Récurrence du port, de la mer, des départs, de l’exil, du foyer à l’abri des brisants, les mains calleuses, bourrues d’amitié, le bateau qui sombre et le cimetière face à la mer, habité de cercueils vides de marins … la suspicion que ceux-ci soient naufragés dans un lointain pays exotique. Dans mon imaginaire, la gare, c’est plutôt l’attente, le baiser volé, le hall désert, le train qui déraille, les corps démantelés, les morts, le fer et le feu fondus en un seul crissement aigu. L’aéroport, c’est la modernité, la rapidité, le bond, le voisin anonyme, les fesses de l’hôtesse, l’étroitesse du hublot, le confinement, la démonstration excessive du détournement ou de l’explosion.
La flanc-garde
Par louis--marie | Le 28/01/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (3)
Le problème de l’avant-garde vient de ce qu’elle bouche le passage, interdit le dépassement et finalement occulte l’horizon. Je lui préfère les chevau-légers de la flanc-garde qui protègent le passage, celle qui fait Camerone.
Thé russe
Par louis--marie | Le 22/01/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
On parle en abondance du flegmatique tea time anglais pris sous les lambris victoriens. J’ai plutôt le goût rustique pour le thé russe, chauffé au bois de cèdre sur les contreforts glacés de l’Oural ou à l’orée de la steppe sauvage.
Les jeux sérieux sont subversifs !
Par louis--marie | Le 11/01/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
La subversion est un jeu sérieux dont la règle désinvolte est l’ordre et la transgression des codes.
Code for victory : S'exagérer !
Par louis--marie | Le 11/01/2014 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Ecrire chaque mot à bout portant, comme une mise à mort !
2014 : Etre supérieur à son temps
Par louis--marie | Le 29/12/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
2014, j'opposerai le bruit de la vie aux grumeaux sourds de vos voix !
Certitude de tanière.
Par louis--marie | Le 14/12/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
La modernité, née comme un projet de domination de la nature comme des êtres, oblige à imaginer la tanière comme une base de reconquête, un quartier général, pas comme un point de chute.
Ecrit de jeunesse
Par louis--marie | Le 08/12/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
L’Amitié comme introduction à l’éthique, l’Amour comme introduction à l’esthétique. Voilà les points d’appui ! Mais nous sommes pressés, elle non, car la femme appartient au temps, l’homme à l’époque. L’Amitié d’abord, ensuite la femme ! A chaque âge un tourment. En attendant, la femme se résume souvent en une porte qui claque !
Clandestin de l'aventure
Par louis--marie | Le 30/11/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Il faut être un alchimiste mystérieux, fusionnant avec furie des idées d’anarchiste baroque et d’aristocrate moderne car l’aventure clandestine est le seul sens de l’histoire.
Transcendance
Par louis--marie | Le 22/11/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Transcendance : celle-ci présuppose toujours que notre existence individuelle mérite d’être sacrifiée pour quelque chose de plus grand.
Aurore celte
Par louis--marie | Le 22/11/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (0)
Le premier matin du monde est né de la nuit celtique.
Rouge, blanc, rosé... et vivent les camarades aristo
Par louis--marie | Le 19/11/2013 | Dans Pneumatiques | Commentaires (1)
Bonjour, Je reviens sur un point de détail mais Woz avait raison : la Mercedes fatale était bien une ...
Bonjour, Je reviens sur un point de détail mais Woz avait raison : la Mercedes fatale était bien une ...
Ou comment rester immortel d'un coup de révolver ! Beau texte que celui-là...
« On ne se souvient pas des jours, on se souvient des instants », disait Cesare Pavese
Arrivés ensemble du côté de Berlin, un jour d'hiver 85, les images me reviennent de quelques moments ...
« Nous, on fait dans l’plomb ! »
Superbe !
C'est peut-être une mue : "Tous les trente ans, le monde laisse tomber une peau", disait Paul Morand ...
Personne n'y prête attention, mais j'aime tes #hashtag insolents.
J'y ai des souvenirs de fins de nuits qui nous obligeaient à partir séance tenante voir la mer du côté ...
Soljenitsyne le disait déjà : « À y regarder de l’extérieur, l’amplitude des convulsions de la société ...
Ami de jeunesse Olivier je pense souvent à toi. Repose en paix ou tu te trouve Éric
”Vous êtes le seul peintre moderne qui donne du génie au spectacteur. Chaque toile ouvre des possibilités ...
Salut camarade ! Faut-il que je sois décati, je n'avais pas vu ça… Un an et demi plus tard, enconfiné ...
est le titre sublime d’un album de Lavilliers… vanité et exotisme.
C'est, je crois Jorge Luis Borges, qui disait qu'un gentleman ne peut s'intéresser qu'à des causes perdues ...
Super clin d’œil
Magnifique détail ! Que de talents en Occident, quelle histoire des Arts !!! Le constat est amer aujourd'hui ...
IL reste des poches de résistants qui sont pétris de ces valeurs et de certitudes quant aux solutions ...
Sabre au clair! On retourne dans la brêche.